C’est une histoire qui débute en 2012. Cette année-là, un mécénat solidaire voit le jour sur le territoire angevin, porté par plusieurs acteurs locaux. L’objectif : contribuer à l’innovation sociale et solidaire sur le territoire, en soutenant la création, l’accompagnement, le développement et le financement d’actions désintéressées sur toutes les thématiques.
Dès la création d’Angers Mécénat, David L’Ebrellec s’engage au sein de ce fonds de dotation, notamment en tant que mécène de compétences. Avec la création de l’agence RouleMarcel, l’engagement se poursuit de manière naturelle. L’agence s’appuie régulièrement sur des compétences locales pour porter l’ensemble de ses projets. Toute l’équipe a conscience de la synergie positive de ces échanges et ancre son implantation locale grâce à ces partages. Il était donc évident que RouleMarcel contribue à l’économie sociale et solidaire en soutenant Angers Mécénat, tant l’agence accorde une valeur toute particulière à la simplicité et à l’accessibilité, des axes ancrés dans l’ADN-même du fonds de dotation angevin.
C’est ainsi qu’au fil des années, RouleMarcel a participé à la sélection et au soutien des différentes structures lauréates des appels à projets. Au total (à date en 2024), ce sont 132 projets qui ont été soutenus et près de 93 associations qui ont été accompagnées.
De l’aménagement d’espaces accessibles aux personnes à mobilité réduite à l’achat de matériel de cuisine ou d’outillage, en passant par la prise en charge de frais de déplacement ou d’accompagnement auprès de publics fragiles, les projets lauréats sont tous d’intérêt général, innovants et porteurs de cohésion sociale et de solidarité. Des projets très divers mis en images à plusieurs reprises par RouleMarcel et rassemblés (en partie) dans une vidéo best of diffusée à l’occasion de la soirée des lauréats organisée le 17 octobre dernier. Pour visionner ces belles images pleines de sourires et d’entraide, ça se passe ci-dessous 👇
Cette grande soirée des Lauréats 2024, organisée en octobre au cinéma Pathé d’Angers a été l’occasion de rassembler pour la première fois depuis longtemps mécènes, anciens lauréats et nouveaux porteurs de projets. Avec un événement à fêter : le passage de la barre des 1 million d’euros de soutien versés aux associations du territoire depuis la création d’Angers Mécénat !
L’agence RouleMarcel est fière de faire partie de cette dynamique locale et de soutenir des projets aux valeurs qui résonnent avec celles de l’agence.
Pour en savoir plus sur Angers Mécénat et les projets lauréats, rendez-vous sur le site internet du fonds de dotation. Et on nous dit que si vous y allez du 1er au 30 novembre, vous aurez la possibilité de participer à un grand jeu 😉
Vendredi 17 mai, RouleMarcel était présent sur les lieux pour cette nouvelle édition. Suivez le guide, nous vous embarquons au cœur de ce festival cool cool.
Après 7 ans d’existence, le festival Motion Motion a décidé d’innover en 2024 avec le Preroll (en référence aux vidéos publicitaires lues pendant quelques secondes avant la visualisation d’une vidéo de contenu). Introduction du festival, voilà donc une toute nouvelle journée dédiée aux professionnels et étudiants, pour échanger, partager, débattre et se rencontrer autour de conférences, tables rondes ou ateliers sur le motion design.
Et c’est lors de cette journée que RouleMarcel a pu découvrir Motion Motion. L’occasion de rencontrer un large public puisque le motion design touche divers domaines, de la publicité au web en passant par le jeu vidéo ou encore l’art numérique.
La journée était riche en discussions et thèmes. Nous avons pu participer à pas mal de conférences et d’ateliers. Alors, pour résumer au mieux ce que nous avons vécu, voici les éléments qui ont retenu notre attention :
Les discussions ont été nombreuses autour de l’avenir du métier et de la rapidité d’évolution de celui-ci. L’inévitable question de l’IA et la démocratisation de nouveaux logiciels font partie des sujets qui ont occupé une bonne partie des débats. On retient notamment Calvary (logiciel d’animation 2D) ou Spline (logiciel de 3D en temps réel et directement sur navigateur), deux logiciels plutôt récents auxquels s’intéresser selon nous.
Tadamm, c’est un concept de salles immersives itinérantes où vous pouvez voir des films en 360°. Le collectif souhaite mettre en avant et rendre accessible à tous le travail des motion designers. La conférence a été le moyen de découvrir le travail des équipes et de comprendre comment un film visible en 360° est construit et réfléchi. Si l’expérience vous tente, leur Dôme Immersif sera à Nantes du 15 juin au 16 août 2024, Cours Saint André.
Reframed est une association qui questionne sur le sujet de la responsabilité écologique et sociale des motion designers. Elle met à disposition des ressources et soutient les acteurs du métier dans leur prise de conscience et leurs engagements plus responsables.
L’association a notamment créé un auto-test pour permettre aux motion designers d’avoir une réflexion personnelle (éthique, écologique, etc.) à toutes les étapes d’un projet. Si vous voulez faire le test, c’est par ici.
Dans cet atelier, Suzy Lacombe nous a présenté comment elle combine son passé de plasticienne/maquettiste avec son métier de motion designer. Nous avons retroussé nos manches et avons filmé des reflets de lumières ou des taches d’encres mélangées à de l’huile, du gel ou autres liquides plaqués sur une vitre.
Une fois ces vidéos intégrées dans After Effect avec quelques effets, cela crée des transitions brush ou des fonds de génériques singuliers.
Une manière d’aborder le motion design par une entrée plastique et non digitale. Une réflexion intéressante à utiliser pourquoi pas dans de futurs projets.
La journée a été l’occasion de faire beaucoup de veille et de faire le plein de références dans le domaine. Lors des différentes conférences, nous avons écouté et découvert le travail de plusieurs motion designers. Nous listons ici le nom de quelques artistes rencontrés sur place (parce que c’est toujours bien d’avoir de bonnes références ;)) :
En somme, la journée Preroll, c’était une expérience riche en discussions et projections. Un grand merci à l’organisation et aux bénévoles du Motion Motion. Nous avons fait le plein d’inspirations pour de futurs projets animés. Alors, à l’année prochaine peut-être !
Et si vous avez un projet de motion design, nous sommes disponibles pour travailler ensemble sur une méga production ! N’hésitez pas à nous contacter ! 😉
]]>Chez RouleMarcel, nous encourageons nos clients à organiser des shooting photo de portraits corporate dans leur entreprise et nous avons toujours plaisir à photographier toute une équipe. Allez, on vous dit tout des coulisses d’un shooting pro dans cet article. Cheese Fromage ! Euh, non… Ouistiti !
Commençons par le commencement. Vous vous demandez peut-être déjà quel est l’intérêt d’un shooting photo de portraits au sein d’une entreprise ? Spoiler alert : il y en a plein ! Nous vous les présentons en détails dans cet article au titre évocateur : Pourquoi prendre ses salariés en photo. Mais voici tout de même un petit résumé des avantages à faire une séance photo avec tous les employés.
Ça y est, vous êtes convaincu de l’intérêt de prendre les salariés de votre entreprise en photo ? Pas encore ? Un petit tour dans les coulisses de l’organisation d’une séance devrait finir de vous convaincre ! 😉
Comme tout projet de communication, l’organisation d’une séance de portraits en entreprise commence par une réflexion sur l’objectif et les cibles. Quelle image souhaitez-vous faire ressortir de votre entreprise ? Quelle attitude doivent avoir les personnes prises en photo ? Que vous souhaitiez mettre en avant votre caractère créatif, dynamique ou bien sérieux, l’axe visuel et le travail du photographe ne seront pas les mêmes, tant dans le choix du décor que dans celle de la position des modèles, de leur tenue et de leur attitude sur les clichés.
Une fois les objectifs actés et le type de photos désirées sélectionné, il est temps de chercher un environnement, un espace pour accueillir ce shooting. Chez RouleMarcel, nous avons un studio photo/vidéo qui peut tout à fait accueillir la séance photo portraits de vos équipes, si l’idée est d’avoir un arrière-plan neutre, et pas vos locaux en fond. Nous proposons différents fonds de couleur, des classiques blanc/beige/gris/noir, aux plus pop jaune/orange/bleu/rose… Nous vous conseillerons sur les couleurs à privilégier selon l’image de votre entreprise et sur les vêtements à porter selon la couleur choisie pour l’arrière-plan.
Vous pouvez également opter pour une séance dans vos locaux, avec fond ou sans fond, puisque chez RouleMarcel, nous pouvons nous déplacer en entreprise, avec tout notre matériel. Nous veillerons à trouver l’espace le plus adapté à la séance, en termes de lumière et de décor, et à préparer tous les éléments nécessaires au bon déroulement de la séance.
Concrètement, à quoi ressemble le set up d’un shooting de portraits en entreprise ? Chez RouleMarcel, nous accordons une grande importance à la lumière, à l’éclairage des visages. Nous installons ainsi plusieurs flashs pour éclairer le protagoniste. Pas de flash frontal, mais plutôt des éclairages différents placés pour encadrer le modèle. Le positionnement des flashs, du modèle et du photographe va aussi dépendre du cadrage attendu : photos en pied ou cadrage américain.
En fonction de ces éclairages mais aussi du style de photo choisi, nous guidons nos “stars” d’un jour dans la bonne position à adopter. Ceux qui y sont déjà passés se souviennent sûrement de cette position un peu atypique mais très efficace pour mettre en valeur et en mouvement un corps statique : les pieds en diagonale, les hanches fixes et les épaules tournées vers l’objectif de l’appareil photo. Côté visage et port de tête, certains n’ont pas dû oublier la fameuse tête de tortue ou tête de poule, qui permet un détachement naturel de la tête par rapport au cou et aux épaules.
Et le sourire nous direz-vous ? Le sourire est toujours propre à chacun. Si vous êtes du genre à sourire à pleines dents, ne vous freinez pas. Si votre sourire est plus timide, lèvres pincées, le photographe tentera probablement de vous faire entrouvrir légèrement la bouche et surtout de vous faire sourire avec les yeux (oui on sait, ça peut sembler un peu conceptuel… mais ça marche et beaucoup de gens y arrivent, croyez-nous 😉 ).
Une fois les modèles positionnés, le shooting photo peut commencer. Enfin, une petite séance de maquillage peut parfois s’imposer. En fonction des peaux, du stress ou de la température sur le lieu du shooting, il est parfois nécessaire de passer un peu de poudre sur le visage de ceux qui viennent se faire tirer le portrait, pour éviter la brillance et les reflets avec les flashs.
Et si toute cette mise en place peut sembler un peu technique et peu naturelle, l’idée est tout de même de réaliser des portraits où les personnes photographiées se ressemblent à elles-mêmes. Des portraits qui soient le plus fidèle possible à ce qu’est et ce que dégage la personne prise en photo. Et puis, petit secret : les Marcel n’hésitent pas à faire quelques blagues (plus ou moins bonnes on le reconnaît) pour détendre l’atmosphère et ceux qui seraient peu à l’aise avec l’exercice.
Une fois la séance photo terminée débute le travail de tri et de sélection des photographies. Chez RouleMarcel, nous présentons généralement à nos clients une première sélection non retouchée et leur demandons de faire leur choix parmi les différents clichés. C’est ensuite sur cette sélection que nous allons réaliser les retouches. Uniformisation de la lumière, travail sur les peaux, atténuation des reflets persistants dans les lunettes ou des quelques plis disgracieux des vêtements. L’objectif est de produire une série de portraits cohérents pour tous les salariés de l’entreprise. Nous fournissons ensuite à nos clients les fichiers finalisés pour qu’ils puissent les utiliser sur leurs différents supports : cartes de visite, flyers, site internet, réseaux sociaux…
Maintenant que vous savez tout sur une séance photo portrait en entreprise, prêts à passer devant l’objectif des Marcel ? On se call s’appelle ? 3, 2, 1, ouistiti !
Ne vous trompez pas, ici on ne vous demande pas d’argumenter ou de sourcer vos textes. En typographie, la justification c’est la longueur la plus longue de la ligne d’un paragraphe permise par votre format de page. Quand on justifie un texte, toutes les lignes de votre paragraphe sont donc de longueur identique.
Pour la petite histoire, ce type de mise en forme remonte à l’époque où les typographes créaient leur texte à l’aide de petits caractères en métal. Ils alternaient les lettres et les lamelles en plomb pour composer des gris typographiques harmonieux. C’est-à-dire des paragraphes agréables à l’œil et facilement lisibles sur le papier.
L’arrivée des nouvelles technologies, la composition des textes sur logiciel et la lecture de contenus en ligne ont pas mal changé les codes typographiques. Et sur les écrans alors, faut-il justifier ? CERTAINEMENT PAS ! Et cela pour plusieurs raisons qui vont peut-être vous sembler évidentes à la lecture.
L’expérience utilisateur d’un lecteur sur le web n’est pas la même qu’un lecteur papier : en effet, le contraste sur écran est plus élevé, ce qui engendre une fatigue visuelle importante.
Justifier un texte sur le web, c’est aussi risquer une mauvaise gestion des espaces entre les mots, car plus votre ligne est longue, plus votre texte s’étale. Cela engendre ce qu’on appelle des “lézardes” : des rivières blanches entre les lignes qui stoppent le regard à chaque espace lors de la lecture et donc la rendent plus difficile. Lire un texte sans difficulté est primordial ! Alors lorsque vous éditez 5 colonnes de façon justifiée en print, adoptez plutôt le ferrage à gauche sur le web ! Les grands quotidiens français (adeptes des colonnes et textes justifiés sur papier) l’ont bien compris. Le Monde, Le Parisien, Le Point, etc. ont troqué les paragraphes bien rangés des journaux contre le ferrage à gauche sur leur version web.
On ne vous l’apprend plus désormais, mais le responsive en web c’est important ! Pouvoir consulter son article sur téléphone comme sur ordinateur, en n’ayant aucun problème d’affichage, est devenu indispensable.
Ferrer à gauche son texte va permettre de pouvoir adapter son texte à n’importe quel format de page sans difficulté de gestion lors de l’intégration pour les développeurs.
Un texte justifié, c’est créer des blocs de texte rectangulaire. Les lignes font toutes la même taille et il est donc plus compliqué de distinguer la fin d’une phrase ou d’un paragraphe. Ne pas justifier les textes va permettre de faciliter la lecture à l’écran. En effet, un texte “en drapeau” est plus accessible ! Il permet d’avoir des repères : fin de phrases, fin de paragraphe… L’accessibilité est un point à ne pas négliger si vous voulez rendre votre contenu disponible aux personnes dyslexiques, ou à celles atteintes d’un handicap, comme les personnes malvoyantes.
Pour conclure, un texte ferré à gauche sur le web est tout aussi facile à lire qu’un texte justifié sur papier. Surtout si on crée des espaces suffisants entre chaque paragraphe, et si on prend soin d’enlever les césures (car oui, on évite de couper les mots dans les textes justifiés à gauche ou à droite). Et ce conseil est encore plus à privilégier si on a un support riche en contenus.
Quoi qu’il en soit, si vous souhaitez justifier vos textes, c’est toujours mieux de faire appel à un professionnel qui saura mettre en valeur votre contenu. Et côté mise en page, on se défend plutôt pas mal du côté des Marcel ! Vous voulez voir ? C’est par ici ou encore par là !
]]>Optimiser ses posts pour leur permettre la meilleure diffusion possible, engager la communauté et créer de l’interaction. C’est probablement comme cela que vous abordez vos publications sur les réseaux sociaux. Mais pour les optimiser encore plus, pour le plus grand nombre, il y a quelques données à prendre en compte et quelques bonnes pratiques à adopter. Voici nos conseils pour rendre vos contenus sur les réseaux sociaux accessibles à tous les internautes, qu’importe leurs difficultés :
Soyez vigilants sur vos textes et remplissez les descriptions alternatives des images
Nous mettons souvent les informations importantes dans notre visuel, et pas toujours dans notre wording : GRAVE ERREUR !
Prenons un exemple, notre boutique de prêt-à-porter fait de superbes soldes à -50%. Belle communication sur le visuel “-50%” écrit en gros. Mais pas une seule fois dans le wording nous n’allons retrouver cette information, alors que le lecteur d’écran ne va pouvoir lire le wording, pas ce qui se trouve sur le visuel. Pensez donc bien à donner toutes les informations essentielles dans le wording, dans le texte qui accompagne votre publication. La redite est bienvenue dans ce type de publications, n’ayez pas peur de vous répéter pour l’information principale. Votre message n’en passera que mieux et pour tous les utilisateurs.
Un autre type de texte est essentiel à prendre en compte en matière d’accessibilité (mais aussi d’un point de vue SEO en web) : les textes alternatifs.
Lorsque vous partagez des images sur les réseaux sociaux, assurez-vous de fournir une “description alternative” pour chaque image. Ces descriptions permettent aux utilisateurs aveugles ou malvoyants d’accéder à l’information visuelle grâce à des lecteurs d’écran. Nous vous conseillons également de rédiger une description d’images concise et de décrire le contenu de l’image de manière claire.
Sous-titrez vos vidéos
L’ajout de sous-titres aux vidéos que vous partagez sur les réseaux sociaux permet aux personnes sourdes ou malentendantes de suivre le contenu. Les sous-titres offrent également une meilleure expérience pour les utilisateurs qui préfèrent lire le contenu plutôt que de l’écouter (qui n’a jamais oublié ses écouteurs pour les transports en commun…?). Il existe des applications qui génèrent automatiquement des sous-titres, mais nous vous conseillons quand même de bien relire pour éviter les coquilles !
Notez qu’il est possible d’intégrer des sous-titres directement dans la vidéo (attention aux contrastes, il faut rester lisible !) OU BIEN d’intégrer des fichiers .srt. lors de la publication. Cette fonctionnalité est disponible sur la plupart des réseaux sociaux et les sous-titres sont activables et désactivables selon le souhait de l‘internaute.
Utilisez un langage clair et simple
Optez pour un langage clair et simple dans vos publications sur les réseaux sociaux de manière à ce qu’il n’y ait pas d’ambiguïté. Évitez les acronymes complexes, le jargon ou encore les phrases trop longues. En utilisant un langage facilement compréhensible, vous rendez votre contenu plus accessible aux personnes ayant des difficultés cognitives ou de compréhension (et surtout, vous facilitez la vie à vos utilisateurs !)
Et les emojis dans tout ça ?
Les emojis sont eux aussi restitués par les logiciels de synthèse vocale, de la même manière que les images. Cependant, et contrairement aux images, il n’y a pas besoin d’inclure un texte alternatif, car il est déjà automatiquement associé à l’émoticône.
Il y a toutefois des bonnes pratiques à connaître, afin de rester inclusif :
– Prenez en compte le sens des emojis que vous utilisez dans vos publications
– Ne multipliez pas les émojis 😁😁😁😁😁
– Évitez de remplacer des mots par des emojis (ou à défaut, veiller à ce que leur restitution soit pertinente)
– Prenez en compte les couleurs des émojis en anticipant les éventuels paramètres des utilisateurs (mode sombre par exemple)
– N’utilisez pas d’émojis pour simuler des effets de mise en page
– Même chose pour les hashtags dans le corps des textes et les caractères spéciaux, à utiliser avec modération et à bon escient pour une compréhension facilitée pour tout le monde.
Et parce qu’on est sympa, on vous a préparé ci-dessous une petite checklist des bonnes pratiques à cocher avant chaque post, pour être certain de ne rien oublier ! 😁
En travaillant l’accessibilité de vos publications, vous permettez au plus grand nombre de consulter votre page, votre profil et vos contenus. Mais saviez-vous que des posts accessibles, c’est aussi une bonne chose pour vous, le propriétaire des comptes sur les réseaux sociaux ?
Amélioration de l’expérience utilisateur
En rendant accessible vos contenus sur les réseaux sociaux accessibles, vous permettez à tous les utilisateurs, y compris ceux ayant des limitations visuelles, auditives ou cognitives, d’interagir pleinement avec votre contenu. Cela augmente l’engagement et renforce la satisfaction des utilisateurs, favorisant ainsi une expérience positive qui incite à revenir. Peu de personnes pensent à rendre accessible les visuels qu’ils postent, alors si vous le faites, vous vous démarquerez automatiquement de vos concurrents ! 👍
Hausse de l’audience
Ce n’est un secret pour personne, l’accessibilité est un facteur important pour le référencement. Les moteurs de recherche, comme Google, valorisent les sites web et les contenus qui sont accessibles à tous les utilisateurs. En rendant vos contenus sur les réseaux sociaux accessibles, vous améliorez votre visibilité en ligne et augmentez vos chances d’atteindre un nouveau public. Alors, on se répète, mais pensez à vos textes alternatifs !!!
Pour des contenus plus performants et toujours accessibles, il va vous falloir rester vigilant et adopter les bonnes pratiques précédemment évoquées sur le long terme. Et oui, une bonne publication bien accessible noyée au milieu de plusieurs posts difficilement compréhensibles et visibles par tous, et c’est tous vos efforts qui seront réduits à néant.
Testez l’accessibilité de vos contenus
Afin de vérifier régulièrement l’accessibilité de vos contenus sur les réseaux sociaux, vous pouvez utiliser des outils d’accessibilité en ligne pour identifier les potentiels problèmes et donc apporter les corrections nécessaires. Par exemple, assurez-vous que vos liens sont facilement cliquables, que vos couleurs respectent les normes de contraste et que vos polices de caractères sont lisibles.
Chez RouleMarcel par exemple, nous utilisons généralement les outils comme Lighthouse, qui est un outil dans l’inspecteur d’élément des navigateurs web et qui va nous permettre de vérifier directement l’accessibilité. Autrement pour vérifier le contraste, nous utilisons WebAim (https://webaim.org/resources/contrastchecker/) et W3C (https://validator.w3.org/) pour vérifier le code !
Restez informé des normes d’accessibilité
Les normes d’accessibilité évoluent constamment, il est donc important de vous tenir informé des dernières recommandations. Des organisations telles que le W3C (World Wide Web Consortium) publient régulièrement des directives et des normes pour garantir l’accessibilité des contenus en ligne. En restant à jour, vous pouvez adapter vos stratégies de communication en conséquence.
L’accessibilité est quelque chose d’essentiel pour votre communication sur les réseaux sociaux. Mais pas que sur les réseaux ! Sur votre site internet aussi ! En rendant vos contenus accessibles, vous offrez une expérience inclusive à tous les utilisateurs, tout en améliorant votre référencement et donc votre visibilité. En suivant les conseils pratiques et en restant à jour avec les dernières normes, vous pouvez créer des contenus accessibles et renforcer votre présence en ligne de manière positive et durable. Chez RouleMarcel, on est là pour vous accompagner dans cette démarche d’accessibilité !
Alors, on se call s’appelle ?
Vous aviez déjà remarqué ce travail de composition, avec ces photographies époustouflantes à chaque édition ? Eh bien on peut vous dire que ça n’a pas toujours été comme ça… Il y a parfois eu des choix graphiques originaux, d’autres même très osés et d’autres qui laissent perplexes…
Vous l’aurez compris, les Marcel avaient envie de plonger dans l’univers graphique du Festival, et de vous partager leurs analyses et leurs impressions. Allez, vous montez les marches avec nous ?
Au-delà de la poésie de cette affiche où elle sublime la composition, mettre à l’honneur Catherine Deneuve est un symbole fort. Par le passé, l’actrice a été vice-présidente de l’événement avec Clint Eastwood en 1994, puis a gagné la palme d’honneur en 2005 avant de recevoir 3 ans plus tard un prix spécial pour sa carrière. Et cette année, sa fille Chiara Mastroianni est la maîtresse de cérémonie. Que d’éléments qui désignent Catherine Deneuve comme le visage du Festival de Cannes pour cette 76e édition.
Création : © Jack Garofalo/Paris Match/Scoop (photo) © Hartland Villa (Création graphique)
Et c’est avec une légèreté insaisissable que l’actrice est représentée à travers une photographie de Jack Garofalo sur le tournage de «La Chamade», un film réalisé par Alain Cavalier. Une photo prise sur le vif, en 1968, à Saint-Tropez, où le naturel de l’actrice est à son apogée.
Hartland Villa, réalisateur de l’affiche, a retravaillé la photographie noire et blanche en saturant le bas, créant un contraste fort sur la Mer Méditerranée à laquelle l’actrice tourne le dos. Un choix colorimétrique intemporel qui fige le temps.
Une verticalité se dessine dans le mouvement des cheveux de l’actrice et se prolonge jusqu’en bas de l’affiche avec ce jeu typographique dynamique, et un interlettrage très prononcé qui accentue encore plus cet effet vertical.
L’ensemble met en avant une photographie sublime et illustre cette édition 2023 dans une parenthèse intemporelle, insaisissable et vertigineuse. Un bel hommage à cette actrice qui a marqué et marque toujours le monde du cinéma.
Si depuis quelques années les affiches du festival utilisent des photographies issues de chefs d’œuvre du cinéma, cela n’a pas toujours été le cas.
Lors de nos recherches, nous avons découvert quelques petites pépites que beaucoup d’entre vous n’ont sûrement jamais vu, si vous n’avez pas fait les curieux. Ça vaut vraiment le coup d’œil, croyez-nous ! Voici notre petite sélection des affiches les plus étonnantes du Festival de Cannes par le passé. Attention les yeux ! Tendance collage, illustration, composition photographique, surréalisme… Il y en a pour tous les goûts, même les mauvais goûts 😉
Commençons par le commencement : la première affiche du Festival de Cannes. Dans un contexte de guerre, le festival initialement prévu en septembre 1939 est reporté à 1945 puis 1946. Pour cette première édition très attendue, les affiches sont au nombre de trois et sont réalisées par trois illustrateurs : Rémy Hétreau, Leblanc, Paul Colin. (dans l’ordre sur l’image)
Créations : illustrations ©Rémy Hétreau ©Leblanc ©Paul Colin. (dans l’ordre)
Sur la majorité des affiches des premières éditions du Festival, ce sont les couleurs primaires qui dominent, très tendances à l’époque (et bien sûr le vert est proscrit, puisque cette couleur est réputée porter malheur pour les artistes !).
En analysant les affiches d’année en année, notre œil aiguisé de Marcel a pu constater que certains éléments étaient très souvent utilisés.
Dans le top 3, la vue de la Croisette et sa plage, avec ses vagues, son sable chaud et ses mouettes.
En deuxième place, les drapeaux des pays des films en compétition. La sélection reste internationale aujourd’hui, mais les drapeaux ne figurent plus graphiquement sur les affiches.
Et, très souvent combinée à ces drapeaux, l’inévitable bobine de film, symbole très facilement compréhensible du cinéma, présente sur de nombreux visuels dans le rôle principal ou en tant que figurante.
Dans les années 90, la photographie est devenue un des médiums de prédilection pour la réalisation des affiches, avec l’apparition des premiers photomontages. De quoi mettre (quasiment) de côté le style illustratif.
Création : Affiche 48e édition : ©Ryszard Horowitz Affiche 29e édition : ©Siudmak
Quelques visuels plutôt « atypiques » sont créés notamment ce photomontage (à droite) de l’édition de 1995 qui reprend la plage cannoise, ce halo lumineux qui met en lumière une scène de film et ce petit bébé qui marche sur l’eau .. On ne sait que trop en penser si ce n’est que c’est une affiche qui marque les esprits !
Les compositions textuelles sont en général très discrètes durant de nombreuses années, laissant une place majoritaire au visuel, à l’exception de certaines affiches exclusivement typographiques dans les années 60-70.
©L’agence Bronx (Paris)
Puis sont arrivées les années 2010 et les affiches composées de photographies des icônes du cinéma. Les compositions typographiques elles aussi ont connu une grande évolution à cette période.. Prenons l’exemple de la 66e édition en 2013. Un visuel central en noir et blanc, une photographie de deux amants, pris dans une spirale de l’amour, un fond retravaillé qui vient danser derrière les personnages.
À droite, une typographie rouge, sûrement pour faire écho au tapis rouge de Cannes, mais aussi pour évoquer la passion. Les mots s’enchevêtrent, comme les deux amants. Le texte s’harmonise avec le visuel.
Depuis plus d’une dizaine d’années, ce principe de composition est très souvent repris et met à l’honneur un acteur/une actrice, une scène culte. Le nom du festival vient cohabiter dans le visuel pour retranscrire une émotion.
Création : © Bronx (Paris). Photo : Claudia Cardinale © Archivio Cameraphoto Epoche/Getty Images
Et si certains ont pu être choqués que certaines de ces photographies de cinéma soient retouchées, comme pour la 70e édition avec Claudia Cardinale, l’actrice a su mettre en avant le fait que les affiches du festival sont là pour retranscrire le moment, l’univers, les émotions. Selon ses dires, c’est une sublimation. Pour créer des affiches sublimes et mémorables. Enfin, nous, du côté des Marcel, on est séduit par ces créations glamour qui nous donnent envie de monter les marches. Pas vous ? 😉
]]>Les technologies web évoluent constamment, votre navigateur web devient de plus en performant et propose de plus en plus de services que vous n’imaginez peut-être pas. Les technologies de développement web que nous utilisons nous permettent de proposer des applications web toujours plus poussées.
C’est dans ce contexte d’explosions technologiques que s’inscrit une transition vers la digitalisation sans précédent. Ce phénomène tend à faire du monde de demain un monde plus connecté que jamais, facilitant la relation client, les échanges commerciaux ou encore la gestion des ventes.
On remarque depuis plusieurs années que le smartphone prend la place principale dans les supports d’utilisation d’outils numériques. Le web et la création pour le web se tournent donc naturellement vers nos smartphones. Selon une étude menée par Hootsuite et We Are Social en 2022, l’utilisation du mobile représente à présent 60% du trafic mondial total sur la toile. Plus question donc de négliger le smartphone dans la création d’un site. On connaissait déjà les sites responsive s’adaptant aux petits formats d’écrans. Mais à présent, votre site est capable de bien plus.
Une nouvelle technologie a fait son apparition et se développe de plus en plus. Il s’agit des “Progressive Web App” (PWA). Cette appellation définit un ensemble de pratiques dont le but est de rendre les sites web de plus en plus proches des applications natives (Android, IOS). On parle alors “d’applications web”. Pour qu’une App web mérite le statut de progressive web app, celle-ci doit respecter trois critères fondamentaux :
Cette technologie PWA peut également être couplée avec l’utilisation d’un framework puissant comme React par exemple, et cela, pas seulement pour les smartphones. React, c’est un outil propulsé dans son développement par Facebook et qui permet de créer différents supports web (autres que mobile). Par exemple, il est possible de créer des interfaces graphiques épurées, s’adaptant aux données disponibles pour l’utilisateur. L’utilisation est ainsi simplifiée au maximum. Le langage javascript permet de rendre votre site beaucoup plus fluide en rendant son rendu asynchrone… Ne paniquez pas, on vous explique !
Lorsque vous naviguez sur un site web et que votre action entraîne une modification dans la base de données du site (inscription, ajout au panier…), celui-ci exécute donc la modification, puis régénère une nouvelle vue du site afin que vous puissiez visualiser votre action. En d’autres termes, la page se “rafraîchit”. En javascript, il est maintenant possible de créer des sites sans aucun rechargement de page. La modification se fait en temps réel, sous vos yeux. C’est un point important car cela simplifie encore l’expérience utilisateur. De plus, les frameworks javascript nous permettent d’optimiser au maximum les caractéristiques du site : temps de chargement, accessibilité, SEO et même la sécurité. Tout cela est optimisé pour plus de dynamisme, de confort d’utilisation et de performance !
Un site dynamique se doit d’avoir une gestion des données efficace. Lorsque un nouveau client s’inscrit sur votre site ou que vous ajoutez un nouveau plat à votre menu numérique, votre site a besoin d’avoir l’appui d’une application dédiée au traitement de cet afflux de données. Admettons maintenant que vous possédiez un site web et que vous souhaitez une application mobile partageant les mêmes données que le site. C’est possible grâce aux API (interface de programmation d’application). Encore une fois, pas de panique, schématisons 🥸
Voyez votre site et votre application mobile comme les clients d’un bar. Votre base de données représente notre barman. Pour lui permettre de fournir les cocktails demandés par les différents clients, celui-ci a besoin d’un comptoir, notre API. Ainsi, une fois hébergée sur un serveur, celle-ci est consultable par différentes sources (par les clients du bar et les serveurs), en fonction des permissions établies par le développeur. Il vous est donc possible de centraliser vos données pour tous vos services numériques.
Oui on sait, ça fait beaucoup de termes techniques ? Mais vous allez voir, on vous le garantit, ces termes et ces outils vont de plus entrer dans notre quotidien et dans notre manière de travailler. D’ailleurs chez RouleMarcel, on les utilise déjà très régulièrement. Toujours en adéquation avec les besoins et souhaits du client, si ces solutions sont les plus pertinentes. (spoiler alert : elles le sont quasiment toujours.) Alors, n’hésitez pas à venir nous demander des PWA, API et autres réalisations en React. Notre équipe web est au taquet ! Et si vous voulez simplement (et sans rentrer dans les détails techniques) digitaliser votre activité, mettre à jour votre site internet ou créer une application pour vos clients, les Marcel sont là aussi, et toujours au taquet ! Alors, on se call s’appelle ?
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Eh oui, les Marcel font des podcasts ! Impossible de passer à côté de ce format qui bouscule la communication depuis quelques années et qui permet de communiquer différemment, tant sur la forme que sur le fond. Pour pouvoir proposer cette prestation à nos clients, nous nous sommes équipés en conséquence. Nous disposions déjà d’un équipement pour l’enregistrement de voix-offs, que nous avons choisi de compléter et d’enrichir afin de disposer du meilleur système possible par rapport à nos besoins et ceux de nos clients.
Micros, systèmes d’enregistrement, de montage et de mixage. RouleMarcel dispose donc de tout le matériel nécessaire à la production de podcasts pour ses clients (en attendant peut-être prochainement un podcast des Marcel eux-mêmes… ;))
Les enregistrements ont lieu dans le studio de l’agence ou chez les clients directement, selon les possibilités de chacun des intervenants.
Préparation, enregistrement, montage, mixage et même création des génériques et des identités visuelles. Les Marcel gèrent l’ensemble des étapes de la création d’un podcast, dont la stratégie liée à la création d’un nouveau format. À la manœuvre (ou plutôt à la baguette, ou plutôt derrière les micros), on retrouve Marion, notre chargée de contenus, ancienne journaliste radio, accompagnée de David. Pour chaque podcast, Marion peut prêter sa voix (mais il faut toujours lui rendre hein !). En habituée des interviews et des formats radiophoniques, elle se charge des entretiens et peut incarner les podcasts de nos clients.
Ok, l’agence propose donc à ses clients de réaliser des podcasts. Mais quel intérêt pour une entreprise d’opter pour ce format audio ? Se mettre aux podcasts permet déjà de surfer sur la tendance actuelle et de s’inscrire dans les stratégies de communication en vogue. Cela montre que l’entreprise est moderne, à l’écoute des actualités et des modes de communication plébiscités par le public en ce moment. Selon une étude menée par Médiamétrie en 2022, 17.6 millions de Français écoutent des podcasts chaque mois, un chiffre en hausse de 17% sur une année.
Le podcast est également un média à intégrer dans votre stratégie de communication car il s’adresse à une audience très qualifiée et qui devient facilement assidue (si les thèmes et formats des premiers podcasts ont su capter son attention). Un podcast demande un haut niveau d’attention, sans pour autant complètement capter totalement l’auditeur. L’un des principaux atouts du format podcast est qu’il permet à son auditeur de faire autre chose en même temps, de poursuivre une activité en parallèle : cuisiner, conduire, étendre son linge ou encore trier ses chaussettes (attention, écouter un podcast n’empêchera pas l’apparition de chaussettes solitaires, on préfère vous prévenir).
Autre point fort du podcast : les thèmes qu’il permet d’aborder et le fond du message. Le format audio se prête en effet très bien à l’évocation des valeurs de l’entreprise, au partage d’une vision. Contrairement aux réseaux sociaux qui privilégient la forme, la rapidité et l’efficacité, le podcast est lui un format de fond : c’est le média de l’authenticité, du savoir, du partage de connaissances et d’échanges relativement longs (de quelques minutes à plus d’une heure). Il s’agit donc d’un autre média intéressant pour vos communications plus élaborées, liées aux valeurs et à la vision de votre entreprise.
Dernièrement, les Marcel ont commencé une série de podcasts pour Elvup, une entreprise de conseils et de services aux éleveurs basée dans l’Orne. Intitulé “Dans les bottes d’Elvup”, ce podcast permet de découvrir les métiers de l’entreprise grâce à l’interview/témoignage d’un employé.
Pour écouter le premier épisode, ça se passe juste ici : https://music.amazon.in/podcasts/0bc0ad1a-0cfa-4dea-8083-7dc89844b777/dans-les-bottes-d’elvup
Prêt à passer derrière le micro ? Envie de proposer un format qui change ? Appelez-vite la libre antenne de RouleMarcel ! Enfin, contactez-nous à notre numéro habituel quoi… 😉
]]>Grand gagnant de ces bouleversements : le digital ! Et cela de bien des manières… Allez venez, on vous emmène faire un tour du côté du virage digital 😉
En tant que chef d’entreprise, entrepreneur, ou startuper, vous avez sans doute dû faire face à un changement dans les demandes de vos clients au moment de la crise sanitaire. Et c’est tout à fait normal ! Nous avons tous dû nous adapter à un nouveau style de vie : moins de contact physique, plus de digital.
Les commerçants ont dû adapter rapidement leur manière de vendre et le digital est apparu comme la solution à privilégier pour maintenir l’activité et le lien avec les clients.
Et qui pouvait aider ces entreprises à prendre le virage du digital ? RouleMarcel bien sûr ! Nous avons renforcé notre offre et diversifié nos propositions pour satisfaire nos clients et les clients de nos clients (vous suivez ? 😉).
Sites e-commerce, prise de rendez-vous en ligne, QR Codes… Via ces solutions, les Marcel ont pu accompagner de nombreuses entreprises pendant la crise sanitaire, et même après ! Ces nouvelles façons de faire et de communiquer ont en effet perduré. Elles se sont ancrées dans le quotidien et dans la manière de consommer des Français, dans leur rapport à l’espace public et aux autres. Les demandes ont muté, le virage digital a survécu au covid et occupe désormais une place importante dans les activités de l’agence (même si attention, print is not dead, comme on vous l’expliquait là.)
Aujourd’hui, digitaliser son commerce est quasiment devenu une norme. Avec la crise, les Français ont acquis de nouveaux réflexes (ou ont consolidé leurs habitudes s’ils étaient déjà “pro web”) : aller voir sur internet. Avant de se déplacer, avant de prendre un rendez-vous, avant de se lancer dans un processus d’achat. Comme on observe une vitrine avant de franchir la porte de la boutique. Sauf que là, la vitrine, c’est le site internet ! Une vitrine qu’il faut soigner, rendre attrayante, claire, qu’il faut régulièrement changer, mettre au goût du jour !
Les demandes de refonte de sites internet sont très nombreuses, ainsi que celles de sites e-commerce. Pourquoi se contenter de la vitrine quand on peut mettre l’ensemble de son magasin sur la toile et permettre aux clients d’acheter depuis leur canapé ?! Chez RouleMarcel, nous avons notamment travaillé sur un site e-commerce B2B pour accompagner le salon digital d’Espace Emeraude (et on vous explique comment on a fait juste ici).
Autre possibilité offerte par le digital : la prise de rendez-vous en ligne. Fini le temps où il fallait appeler pour réserver une table au restaurant, aller voir son banquier ou pour caler sa prochaine pose de bigoudis chez le coiffeur. Avec la prise de rendez-vous en ligne, plus besoin d’appel, un tour sur un calendrier synchronisé et le tour est joué ! Plus besoin non plus d’attendre les heures d’ouverture du commerce pour caler son rendez-vous. Accessible 24/24h et 7/7j, ce service optimise vraiment l’expérience client et peut aussi faire gagner du temps au commerçant, plus dérangé par les coups de fil incessants. Une solution que les Marcel sont en capacité de mettre en place dans différentes structures, de différentes manières : avec des outils de gestion déjà existants (comme Planity) ou en créant un outil de gestion (comme pour Vital’eau). Ça y est, vous vous demandez s’il faut mettre en place la réservation en ligne sur le site internet de votre entreprise/commerce ? Ça tombe bien, on a un article écrit rien que pour vous à ce sujet 😉
Mettre régulièrement à jour sa vitrine web (aka son site internet), c’est bien. Mais pour être toujours plus réactif, plus à la pointe des tendances et des demandes des clients, rien de tel que les réseaux sociaux ! En plus de vous permettre d’y faire apparaître vos nouveautés, vous pouvez y échanger directement avec vos clients, créer des interactions et de l’engagement avec votre communauté.
Et si tout le monde peut, dans l’absolu, utiliser et gérer un compte sur un réseau social, y être actif au nom d’une entreprise ou d’une marque est assez exigeant. Votre communication doit être professionnelle tout en adoptant les codes propres aux réseaux sociaux. Et qui dit Facebook, Linkedin, Instagram, etc. dit aussi modération. Eh oui, il faut bien entendu répondre aux questions et remarques des internautes et gérer les différents commentaires qui peuvent apparaître à votre sujet (qu’ils soient positifs ou négatifs).
Le nombre de community managers au sein des entreprises a ainsi largement augmenté (même si beaucoup se demandent encore qu’est-ce qu’un community manager ?). Et il est également possible de faire appel aux Marcel (coucou 👋) pour qu’on s’occupe de tout ça.
Chez RouleMarcel, nous observons au quotidien les impacts de la crise du COVID-19 sur la communication et la mutation des demandes vers le digital. (On peut vous le dire ici, on est devenu des professionnels de la création des QR Codes notamment…) Nous accompagnons tous nos clients, habitués et nouveaux, dans leurs projets de digitalisation, dans leur communication sur le web ou sur les réseaux sociaux. Alors, si vous avez besoin d’un petit coup de pouce, de conseils ou envie de donner vie à vos projets, pensez RouleMarcel ! On pourra en parler autour d’un café, par téléphone ou même en visio (ça aussi, c’est un effet post-covid 😉)
]]>Concrètement, une newsletter est un outil de communication qui va servir à envoyer des informations à vos destinataires.
Les entreprises s’en servent généralement pour communiquer avec leurs prospects et/ou clients afin de diffuser de manière massive une information : un événement, la promotion d’un produit, l’annonce de nouveaux services… Certaines newsletters sont à une fréquence plus ou moins soutenue : journalière, hebdomadaire, mensuelle, trimestrielle… Tout ça va dépendre de votre cible et de la quantité d’informations que vous avez à dire.
Nous allons parler ici des newsletters B2B, soit Business to Business !
Envoyer une newsletter à un réseau de professionnels peut s’avérer être un vrai atout pour votre entreprise. On vous explique tout de suite pourquoi !
La newsletter va tout d’abord permettre l’augmentation du trafic sur votre site. Car oui, il faut intégrer à cet e-mail marketing des CTA (Call To Action) qui sont des boutons ou des liens qui redirigent directement sur votre site. Un exemple : vous évoquez dans la newsletter un article que vous venez de sortir. Si le destinataire de la newsletter ne l’a pas encore lu et est intéressé, il y a de fortes chances pour qu’il décide de continuer sa lecture sur votre site !
Mais les CTA peuvent aussi prendre la forme d’un sondage ou d’une demande de feedback “Qu’est ce que vous en avez pensé ?”, ce qui va permettre d’avoir des retours de la part de votre audience. Cette information va d’ailleurs être primordiale pour connaître les attentes de vos lecteurs !
Vous devez donc mettre en avant des évènements, des projets (réalisés ou en cours de réalisation) mais aussi le contenu de vos réseaux sociaux ! Ainsi, vous augmentez vos chances de créer de l’interaction sur vos posts et donc, de toucher une plus grande audience !
Vous allez également pouvoir mesurer les KPIs, c’est-à-dire l’engagement de votre audience grâce aux taux d’ouverture, de clic, de désinscription… Grâce à tous ces indicateurs, vous serez en mesure d’évaluer précisément la pertinence de vos objets ou de votre contenu, l’efficacité de vos appels à l’action, et vous pourrez mettre à jour votre liste de contacts (et ainsi voir ceux qui n’ouvrent pas le mail, ceux qui se désinscrivent ou au contraire, ceux qui l’ouvrent à chaque nouvel envoi).
Tout d’abord, avant de se lancer sans réfléchir, il faut déterminer et connaître les besoins de sa cible : quels sont les sujets pertinents pour elle ? Sous quelle forme présenter la newsletter ? Quels sont les codes à respecter (ex : utiliser le vouvoiement ou le tutoiement) ? Est-ce qu’une newsletter hebdomadaire serait plus pertinente qu’une mensuelle ?
De plus, chaque secteur d’activité a une manière différente de travailler donc il faut savoir s’adapter et envoyer notre newsletter au bon moment ! Pour ça, pas de secret, il faut tester ! Prenez un échantillon A de votre carnet d’adresse et envoyez-leur la newsletter à 7h par exemple. Puis, avec l’autre moitié de vos contacts, vous pouvez envoyer plus tard dans la journée. De ce fait, vous verrez à quel horaire d’envoi le taux d’engagement est le plus haut.
Prenez également en compte qu’il vous faudra intégrer quelques visuels car un texte seul peut rapidement être indigeste et décourager votre lecteur ! De plus, rédiger une newsletter trop longue est sans doute contre-productif. Encore une fois, mieux vaut privilégier la qualité à la quantité : soyez efficace et pertinent, sans être trop dense dans vos explications !
Alors, convaincus de l’intérêt d’une newsletter B2B ? Si vous n’avez pas le temps ou l’inspiration pour créer votre newsletter, RouleMarcel peut s’en occuper ! Nous avons tous les outils nécessaires à la création et à l’envoi de votre newsletter ! On s’appelle ?
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